Lorsque je te dis « oui », le 26 août 2010, des larmes de joie coulent sur mes joues.
Enfin j’épouse l’homme de ma vie !
Je me dis que c’est bon cette fois-ci, que nous allons être heureux et pouvoir vieillir ensemble. Je t’aime tant !
Jamais je n’aurais imaginé que cela m’amènerait à toucher ainsi la mort du bout des doigts.
Il y avait pourtant des signes et j’aurais dû me méfier davantage des mots qui blessent.
A trop vouloir te plaire et te faire plaisir, j’ai mis mon orgueil de côté.
Petit à petit, tu as tenté de prendre le pouvoir au moyen de menaces cachées et de dévalorisations répétées. Jusqu’à faire de moi ta marionnette. Où trouver la force de m’enfuir de cette prison sans barreaux qui me voit mourir à petit feu ?
On est préparé au bonheur, mais on ne se prépare jamais à vivre le désespoir et la violence.
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